
Rayonnons
Marie-Claire Mitout
Structure
Fondation Bullukianau 25.11.2023
Vernissage
17.10.2023, à 18h30En lien avec
Cette exposition est réalisée en partenariat avec la galerie Claire Gastaud.
Horaires
Ouvert du mardi au vendredi, de 14h à 18h et le samedi, de 10h à 12h et de 14h à 18h.Chaque samedi à 16h, visite commentée gratuite des expositions par les médiateurs culturels de la Fondation Bullukian (sur réservation pour les groupes).
Tarifs
Entrée libre et gratuiteSites internet
Crédits visuel : Marie-Claire Mitout, Les plus belles heures, D’accord, 2023 © Marie-Claire Mitout
Rayonnons
Marie-Claire Mitout
En 2023, Marie-Claire Mitout a publié aux éditions Roven la monographie « Les Plus Belles Heures » réalisée avec le soutien du CNAP, du FRAC Limousin-Aquitaine, de l’Artothèque de Caen, de la galerie Claire Gastaud et de la Fondation Bullukian.
Dans la continuité de ce partenariat, la Fondation Bullukian invite Marie-Claire Mitout pour l’exposition Rayonnons qui présente des œuvres extraites de l’ouvrage, mais également des pièces récentes ainsi qu’un dessin mural inédit.
« La centaine de peintures réunie dans l’ouvrage « Les Plus Belles Heures » correspond approximativement aux cinq dernières années de l’ensemble Les Plus Belles Heures, débuté en 1990. Le titre, sans détour, convoque une forme esthétique initiée au Moyen-Âge, où textes et images étaient étroitement liés. Le livre d’heures était en effet, à l’origine, un manuscrit enluminé. L’iconographie abondante, composée de lettrines, d’ornementations décoratives et de miniatures, pouvait combiner scènes religieuses et profanes, ces dernières tant plus généralement associées au calendrier liturgique. Mais si le projet de Marie-Claire Mitout se réfère explicitement à cette forme, il se veut cependant laïque ou plutôt syncrétique, comme en témoignent par exemple les allusions aux miniatures persanes, aux estampes japonaises ou encore à l’intérêt porté aux différents courants de la pensée orientale tout en étant pleinement inscrite dans les pratiques culturelles du monde occidental. »
Philippe Agostini
Extrait du texte Récit(s)
